Vincent KEBEDJIS BORDATO

De tout cœur ❤️

Vincent,
nous te revoyons dans notre campagne, où nous avons passé, en famille, de très bons moments.
Tu étais attentionné, blagueur et aidant.
Bien trop jeune pour quitter tes proches, surtout tes fils. Ils vont être forts.
Leur maman a toujours été là pour eux et le sera toujours, c’est une très bonne maman.
Repose toi,
Richard et moi t’envoyons là -haut des baisers affectueux.

Un grand malheur a touché votre famille. Je ne suis pas présente, mais je le suis par la pensée ..
Je suis de tout coeur avec vous dans cette terrible épreuve.
Je vous présente mes sincères condoléances..
Patricia

Je vous adresse mes sincères condoléances.
Suis de tout cœur avec vous.

C’est Que de bons moments vécus ensemble!
On a partagé une tranche de notre vie pendant quelques années avec nos peines et nos joies.
Adieu Vincent, mon ami.
Juan Manuel Galan

C'est avec beaucoup de tristesse que j'apprends le décès de Vincent et je partage votre peine.
Vincent nous quitte trop tôt mais il restera à jamais dans ma mémoire comme une personne extraordinaire, avec beaucoup de gentillesse et de coeur très dévoué a tous ceux qu'il a rencontré.
La vie a été parfois injuste avec Vincent et ses tourments ne l'ont pas lâché aussi je prie pour qu'il trouve enfin la paix.
Je prie également pour que sa famille puisse surmonter cette terrible épreuve et retrouve la sérénité autour du souvenir de Vincent.
Avec toute mes sincères condoléances.

Toutes mes condoléances à la famille et ses amis. J’ai des souvenirs émus de notre temps ensemble a L’AEN plein de blagues, de joies et du mischief en marge de nos journées de travail. Un départ trop jeune est toujours insupportable. Je vous souhaite bien du courage pendant cette épreuve.

Un grand malheur touche une nouvelle fois votre famille. Nous ne pouvons qu'imaginer la douleur de perdre un être aimé, un fils, un frère, un père, un neveu ... Bien que nous connaissions peu Vincent, nous sommes de tout coeur avec vous dans cette terrible épreuve. Nos sincères condoléances.
Sandrine, Franck et les enfants